Quelle que soit l’intention qui conduit à ouvrir en permanence tous les organismes de décision à ce qu’on appelle la société civile, à demande au Parlement moult rapports que personne ne lit, on constate une dérive très inquiétante qui consiste à réduire, partout, le rôle des professionnels, ceux qui connaissent leur métier, dans ces organismes de décision. Nous parlons d’agriculture, et non de préservation d’espèces animales au sens strict du terme. Il nous semblerait donc raisonnable d’éviter ce type de rédaction qui nous semble permettre à terme à toutes les dérives.