Cela fait partie des propositions issues du débat en commission sur les questions de préemption liées aux SAFER. Il s’agit d’ouvrir le droit de préemption aux aliénations à titre onéreux portant sur l’usufruit. C’est l’étape que nous franchissons aujourd’hui. Il restera à examiner ce que l’on peut faire sur la nue-propriété.