Nous avons déjà traité de ce problème avec Delphine Batho au sujet du plan « loup », et c’est sur la proposition du ministre de l’agriculture qu’ont été mobilisées les associations de chasseurs à la demande des préfets. Cette décision est motivée par une considération présentant un intérêt sur le plan écologique. Jusqu’à présent, il fallait faire appel à des louvetiers pour pouvoir procéder à des prélèvements : après avoir constaté des attaques, on décide de prélever un ou deux loups. Mais lesquels ?