…et d’augmenter de manière significative le prix de l’immobilier. Telle est la réalité des chiffres. Les deux courbes sont parfaitement corrélées, sans compter les conséquences très importantes, plus de 4 milliards d’euros je le rappelle, sur les dépenses publiques.
Monsieur Bies, vous avez insisté sur la dimension de la transition écologique et la prise en compte de la biodiversité. Sur cette question et dans un esprit de simplification, nous avons travaillé à des dispositifs simples. La question des normes est souvent mal abordée. On considère que le nombre de normes est préjudiciable. Pour être confrontée à l’application des normes issues du Grenelle et de la RT 2012, c’est-à-dire la réglementation thermique, je sais à quel point elles sont complexes, pas seulement parce qu’elles permettent d’avancer vers des bâtiments moins énergivores et mieux isolés, ce qui est une très bonne chose, mais parce que cela implique des calculs d’efficacité très complexes.