Il a même remis en cause le fameux crédit d’impôt compétitivité emploi, qui était censé régler tous les problèmes de compétitivité de l’économie française. Deux ans de perdus pour la France !
À entendre le Président de la République, on pourrait même croire que la gauche est enfin guérie de sa boulimie d’impôts et de son incapacité à engager des réformes de fond ; hélas, c’est très loin d’être le cas. Qu’on en juge : ces 30 milliards que les entreprises ne paieront plus pour financer la politique familiale, qui va les payer ? À coup sûr, ce seront les familles, les salariés et les retraités, qui doivent donc se préparer à un nouveau matraquage fiscal.