Monsieur Lellouche, je pense réaliste, pour reprendre votre expression, de considérer, quel que soit le mérite de nos soldats – et il est immense –, qu’il est absolument hors de question, quand on connaît le sujet, comme c’est votre cas, d’estimer qu’au bout d’un mois, la tâche pourrait être accomplie.