Monsieur le président, cette attaque est parfaitement indigne. Je suis scandalisé ! (« Oh ! » sur les bancs du groupe SRC.) Jusqu'au 28 mars dernier, j'occupais en effet un poste de haut fonctionnaire et m'attaquer de cette façon dans cet hémicycle est parfaitement scandaleux. En outre, je ne vois pas du tout en quoi de telles accusations peuvent être fondées. C'est extrêmement grave et j'exige immédiatement de votre part des excuses, monsieur le rapporteur. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)