Je comprends, madame la présidente, ne vous inquiétez pas.
Madame la ministre, vous avez choisi, avec ce texte, de faire avancer les choses par la contrainte de la loi. Sur un certain nombre de sujets que Mme Guégot a rappelés tout à l’heure, on ne peut que vous suivre, mais je serai plus réservé sur un certain nombre d’autres, qui font d’ailleurs l’objet de plusieurs amendements que nous avons déposés.
Il en est ainsi, par exemple, de la difficulté qu’éprouveront à l’évidence un certain nombre de couples à faire en sorte que l’un des conjoints puisse s’absenter pendant son travail sur un temps long. Sans modification substantielle du code du travail, cela sera extrêmement compliqué et fera peser sur eux une précarité ou une incertitude financière ou économique délicate.