…fragilise l’exercice du libre choix.
C’est pourquoi, madame la ministre, non seulement le rétablissement de cette référence fondamentale qu’est la « détresse » est essentiel à la législation en vigueur – même si elle ne me satisfait pas –, et c’est pourquoi ce que vous vous apprêtez à faire voter au Parlement sur le délit d’entrave à l’information, qui inclurait même la simple information préalable sur les conséquences éventuelles d’un avortement, ne relève pas, je crois, du respect de la liberté personnelle.
Pour toutes ces raisons, madame la ministre, je défendrai ces amendements dans le cadre de nos débats. Pour le reste, je suivrai la position de mon groupe.