Je n’avais pas l’intention d’intervenir, mais M. Coronado a tout à fait raison. Aujourd’hui, nous n’en sommes plus à demander le retrait d’un tel amendement. En effet, si nous avons demandé, au moment du débat sur les retraites en 2010, de revenir sur cette question c’est bien parce que la loi Ameline de 2006 prévoyait déjà un délai, de cinq ans.
Après avoir travaillé pendant dix ans sur ce sujet, je suis plus que favorable aux dates butoir, qui seules permettent, même lorsque les intentions sont bonnes, de mettre un terme à toute discussion en la matière.