J’entends vos arguments, madame la députée, mais nous devons parvenir à un équilibre entre la souplesse laissée à l’entreprise pour s’adapter à la nouvelle donne et le droit du salarié à s’adapter à sa propre réalité – par exemple, au fait qu’il ait trouvé ou non une solution de garde pour son enfant. Imaginez que vous imposiez au salarié de prévenir très en amont son employeur, mais qu’il trouve entre-temps une solution de garde et change donc d’avis : il n’aura pas la possibilité de revenir sur sa décision. Je considère donc qu’il est protecteur pour les salariés…