Même avis que le rapporteur. J’y ajouterai cependant un argument concernant les conséquences pour les CAF si elles avaient à gérer un tel dispositif. Leur imposer de vérifier pour chacun des 500 000 bénéficiaires du congé parental la profession du conjoint avant d’identifier s’ils entrent dans le mécanisme du partage du congé parental ou non, rendrait cette gestion très complexe. Gardons cet argument à l’esprit. En outre, votre proposition introduirait des inégalités entre les couples. C’est pourquoi je pense qu’il vaut mieux en rester au dispositif qui vous est proposé.
Avis défavorable donc.