Ce rapport aurait permis à l’ensemble des pays européens de reconnaître un accès généralisé à la contraception et à des services d’avortement sûrs. Voilà où nous en sommes. Nous ne pensions pas, en 2014, qu’en légiférant en France sur l’égalité entre les femmes et les hommes, nous serions obligés d’organiser un débat qui nous fait reculer de quarante ans.