La loi Veil permettait cet équilibre. J’engage mes collègues à éviter de se diviser.
Je regrette à la fois les propos qui ont été tenus dans certains cas et qui nous font passer pour les plus rétrogrades des Français et d’autres qui, à l’inverse, voudraient nous ramener à la période d’avant la loi Veil.
Ce que je regrette, c’est que loin de faire progresser la cause des femmes, ce débat fait reculer la société en la divisant.