Monsieur le président, je ne serai pas longue, beaucoup de choses ayant déjà été exposées. J’aimerais simplement appeler tout le monde à être d’accord sur l’essentiel.
Certains d’entre vous se demandent s’il est bien utile de rouvrir la loi Veil et cet équilibre précieux atteint en 1975 et estiment que ce serait même presque un sacrilège. C’est oublier que le législateur n’a cessé, ces dernières années, de conforter cette loi.