Même si les échanges internes sont déterminants pour la zone euro, quel est l'impact de la conjoncture internationale ?
Selon vous, le niveau de la dette n'importe pas tant que le rythme de sa réduction. En tant que rapporteur spécial pour les engagements financiers de l'État, je constate néanmoins que la charge de la dette représente, avec 46 milliards, la première mission de l'État, et qu'un relèvement des taux risquerait de nous faire déraper à nouveau. Ne pensez-vous pas que les incertitudes entravent notre action ?