Intervention de Marietta Karamanli

Réunion du 28 novembre 2012 à 18h45
Commission des affaires européennes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarietta Karamanli :

Je m'associe aux questions qui viennent d'être posées sur la recherche et l'innovation mais, également, sur le coût que représente pour nous la gestion de la situation de la Grèce.

Précisément, la France a joué un rôle important dans l'évolution de la crise grecque. Or, nous arrivons aujourd'hui, et donc tardivement, à accorder à ce pays ce qu'il demandait au début de la crise et qui nous a été demandé à l'occasion de différentes missions par des parlementaires et des membres de différents gouvernements : un délai. J'ajoute que de nombreux économistes ont également prôné un allègement de la dette puisque la Grèce s'est affaiblie et ne peut assumer le fardeau que représente une dette de 160 % du PIB.

Quelles leçons les gouvernements européens ont-ils tiré d'une évolution aussi tardive, pour éviter que de telles situations puissent se reproduire ?

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion