La situation d'ERASMUS m'inquiète car la tentation a été grande de renvoyer les États à leurs propres financements pour terminer l'année 2013 et envisager ce qu'il serait possible de faire de 2014 à 2020, l'éducation n'étant pas une compétence exclusive de l'UE. Renforce également mes inquiétudes le signal que David Cameron a envoyé aux fonctionnaires européens en demandant que leur nombre soit réduit. Si, on renvoie les États à leurs propres fonds et que le nombre de fonctionnaires européens diminue, c'est toute la politique éducative européenne qui en fera les frais. Pouvez-vous lever nos inquiétudes à ce propos ?