Par deux fois, j'avais posé une question au Gouvernement sur la situation en Centrafrique : président d'un groupe d'amitié qui ne peut plus fonctionner depuis longtemps, j'avais été interpellé lors d'un déplacement dans ce pays. La diaspora centrafricaine, affolée, m'a aussi régulièrement interrogé.
Vos exposés, messieurs les ministres, donnent une vision plus claire des perspectives, même si vous n'avez pas caché la difficulté de la mission. Certaines informations, que nous ne divulguerons pas, répondent néanmoins à quelques interrogations. Nous pourrions envisager, dans le courant du mois de février prochain, une réunion de notre groupe d'amitié.
Je veux enfin saluer le sacrifice de nos deux soldats, qui ont payé de leur vie leur engagement pour la paix et la sécurité dans cette partie si importante de l'Afrique.