Comment se coordonnera l'aide humanitaire venue de l'étranger, tant sur le plan de l'alimentation que pour le secours porté aux enfants, dont plusieurs centaines sont abandonnés dans les rues de Bangui ? La France mènera-t-elle des actions décisives en la matière ?
D'après certaines informations, des trafics de diamants et d'ivoire permettent à l'ex-Séléka de se financer : y a-t-il des moyens de les enrayer ?
Enfin, que reste-t-il des dix-sept préfets centrafricains ? Sont-ils encore présents sur le terrain ? Peut-on espérer voir ressurgir à court terme un embryon d'État, sans lequel tous les efforts actuellement consentis risqueraient d'être vains ?