Monsieur le ministre, dans le cadre de votre réforme sur les rythmes scolaires, vous préconisez que les communes ou les établissements publics de coopération intercommunale ayant la compétence en matière scolaire organisent trois heures de temps d’activités périscolaires.
Aujourd’hui, l’aménagement des rythmes scolaires repose avant tout sur la responsabilité et l’engagement des maires, des présidents d’intercommunalité et des assemblées délibérantes, à qui il revient de rechercher des créneaux horaires disponibles, des locaux et des salles de classe à mettre à disposition en dehors des heures de cours, ou encore du personnel qualifié. Ces activités visent à soutenir le bien-être de l’enfant, en allégeant les journées et en variant les activités.
Monsieur le ministre, certaines communes ou établissements de coopération intercommunale n’ont pas les moyens humains, financiers ou immobiliers adéquats pour mettre en place les temps d’activités périscolaires recommandés.