Lorsque ce n’est pas l’absence de locaux appropriés, c’est le manque de personnel qualifié ou disponible qui devient un obstacle. Sans oublier que la première des contraintes est financière. Nombreuses sont les communes et intercommunalités qui ne disposent pas des fonds suffisants à moins d’augmenter leurs impôts.
Dès lors, monsieur le ministre, pourriez-vous – c’est ma première question – me confirmer que l’organisation des trois heures d’activités périscolaires est facultative ?
Seconde question : quelle sera l’attitude de votre ministère si des communes ou intercommunalités n’organisent pas de temps d’activités périscolaires ou si elles ne mettent en place qu’une ou deux heures de ce temps ?