Je conclus, dans le calme de la pourpre, monsieur le président. Le parquet s’est prononcé le 14 janvier, la décision est rendue sous deux mois. Il est encore possible de faire durer le plaisir, mais enfin, on voit bien ce qui se dessine. Il faudra cependant trouver un moyen juridique pour contourner les décisions qui, on le voit bien, seront inéluctablement négatives. Les éléments que j’ai développés sont des pistes.
Enfin, et je conclurai par ces mots, monsieur le président, il faut éviter à tout prix le scénario de l’effondrement de l’emploi, de l’effacement du service public et, bien entendu, de l’appropriation privée indue d’un service public qui, à certaines conditions, peut devenir extraordinairement rentable.