Si le ministre – ou ses collaborateurs, mais le plus souvent, le ministre lui-même – ne prend pas le temps d’être à l’écoute et de mener l’indispensable dialogue social, d’autant plus indispensable qu’il existe des incertitudes et des inquiétudes, il ne faut pas s’étonner que surgissent au mieux des incompréhensions et au pire des condamnations de la façon d’agir.