Monsieur le ministre, même si c’est un point de détail, ce que vous avez affirmé à propos du concours d’architectes n’est pas tout à fait vrai car il s’agissait d’architectes associés : le décès de l’un d’eux ne peut arrêter un projet.
Cela étant dit, j’ai bien entendu votre réponse, qui m’apparaît très claire : je peux disposer des locaux que j’avais mis à disposition – le projet voguera en fonction des choix politiques – et il n’y aura pas de cité judiciaire, en tout état de cause, dans les années à venir, pour Chartres et le département.