Objectivement, quand des gens laissent « pourrir » des vitrines, ils portent préjudice à l'image de marque d'une rue et dégradent son attractivité. Il convient donc de trouver un dispositif coercitif. Et si la proposition de la ministre d'un retrait de l'amendement afin qu'il soit amélioré est plutôt positive par rapport à un rejet pur et simple, je comprends la préoccupation de M. Fasquelle.