Le sujet des auto-entrepreneurs ne peut être abordé de la même façon aujourd'hui, alors qu'il en existe un million, qu'en 2008, avant même la création du régime. Il ne s'agit donc pas d'un revirement, mais de faire face à une réalité, à l'instar de ceux qui ont renoncé à mettre fin aux 35 heures tout en répétant qu'il fallait les supprimer. Nous devons faire preuve de pragmatisme et rechercher les moyens d'améliorer ce régime.