Ce sont 15 % des effectifs des commissariats qui ont disparu. À l’opposé de cette politique, les commissariats parisiens comptent, depuis le mois de décembre, 332 jeunes nouveaux gardiens de la paix.
Pourquoi vous dis-je cela ? Parce que, face à des phénomènes que vous décrivez très bien, au-delà des fantasmes sur la drogue ou le cannabis, car vous connaissez la position du Gouvernement qui est très claire…