Toujours à l’alinéa 23, après le mot « propres », nous proposons d’insérer les mots : « appelle à la plus grande transparence possible de l’exercice d’évaluation du système bancaire, afin d’assurer sa crédibilité ». En effet, le rapporteur vient de le rappeler, les précédents stress tests s’étaient soldés par un fiasco : il n’y a eu ni transparence, ni publication, y compris sur certaines hypothèses retenues. Nous pensons au contraire que pour qu’il puisse y avoir une certaine stabilité, une certaine sécurité, la transparence est la bienvenue, tant sur les hypothèses que sur les résultats.