Il est vraiment dommage que nous soyons amenés à discuter dans l’hémicycle de sujets assez techniques.
À ce stade, pour être tout à fait franche, je ne comprends pas en quoi la possibilité de recourir à des back-stops nationaux n’implique pas déjà, en soi, l’éventualité d’attaques spéculatives sur la base de la nationalité. Je le dis dans cet hémicycle et que ce soit très clair : c’est bel et bien cela que nous essayons de combattre avec nos amendements.
Pour autant, j’entends le rapporteur et le ministre : nous sommes confrontés à un problème technique à ce sujet et je retire l’amendement no 4 tout en maintenant l’amendement no 5 .
Je le répète une troisième fois : si l’un des stress tests révèle la situation délicate d’une banque, par exemple, en Italie, la capacité de l’État italien à la renflouer serait attaquée par les marchés et la situation serait bien entendu extrêmement grave.