Les réactions outrées, les plaisanteries de plus ou moins bon goût qui se répandent sur ce sujet mettent en évidence la persistance d’une misogynie qui, hélas, n’épargne aucun milieu, aucune génération, aucune catégorie de nos concitoyens.
Chers collègues, enseigner le refus des inégalités entre les femmes et les hommes, ce n’est pas nier la différence entre les sexes. Promouvoir la parité dans toutes les instances politiques, économiques et sociales, c’est produire de l’égalité réelle. Soutenir les familles monoparentales, c’est répondre à un défi majeur.