C’est l’appréciation que je porte, cher collègue, que cela vous intéresse ou non !
Après cette mise au point, je voudrais apporter mon soutien – amical, si elle me le permet, et en tout cas respectueux – à Mme la présidente de la commission des affaires sociales sur laquelle pèse une forme de malédiction. L’épisode des retraites avait déjà été difficile à avaler et elle l’avait reconnu ici même comme en commission. L’articulation, l’organisation des travaux, le rythme que l’on fait subir à votre commission, madame la présidente, qui m’est chère pour un certain nombre de raisons…