Pour ma part, je ne vais pas verser dans ce qui pourrait devenir une litanie. À force de voir le Parlement rentrer sans cesse sous sa tente, comme Achille, mais à l’inverse de lui pour ne jamais en sortir, on laisse penser que l’impuissance publique aurait trouvé son siège dans notre hémicycle. Quand ce Gouvernement parviendra-t-il à se départir de cette fébrilité constante qui donne l’impression d’une course folle et éperdue, très loin derrière un pays qui s’est terriblement éloigné et détourné de ses gouvernants ?