Je n’ai pas bien compris, monsieur le rapporteur, votre argument. Certes, on ne sait pas si c’est toute l’année ou non que le salarié travaille vingt-quatre heures par semaine. Mais on ne le sait pas davantage pour les trente-cinq heures ! On ne travaille pas forcément à temps complet douze mois sur douze. On peut travailler à temps complet pendant six mois, et puis ne plus être à temps complet. Cela remet-il en cause le droit à vingt-quatre heures sur l’année ? J’aimerais bien un complément d’information sur ce point : quelqu’un qui ne travaille à temps complet que six, sept ou huit mois par an se voit-il privé d’un certain nombre des vingt-quatre heures accordées dans le cadre du CPF ?