Monsieur le député, monsieur le rapporteur, je comprends tout à fait vos préoccupations, qui ne datent pas d’aujourd’hui. Plus vous êtes formateurs occasionnels les uns et les autres, plus vous êtes confrontés à cette difficulté, ce dont, je le répète, j’ai pleinement conscience. Ce sont d’ailleurs principalement les organismes formateurs eux-mêmes qui sont confrontés à ce problème.
La réponse, vous l’avez déjà presque donnée par avance, monsieur le rapporteur, ce qui montre que, sur des sujets aussi pointus, vous en savez autant, si ce n’est plus, que le ministre lui-même.