Comment la France pourrait-elle voter une loi de programmation et d'orientation sur le développement sans y faire figurer l'objectif de lutte contre la faim et l'insécurité alimentaire, lesquelles concernent quelque 842 millions de personnes dans le monde, selon les derniers chiffres fournis par l'Organisation des Nations unies ? Tel est le sens de cet amendement. Nous en avons déposé d'autres sur la question – tout aussi essentielle – de la souveraineté alimentaire.