Nous proposons de distinguer les pays qui connaissent une croissance forte – au point qu'elle nous ferait presque rêver –, et qui peuvent bénéficier de prêts de l'AFD, et les pays très pauvres, à l'égard desquels il faut privilégier les dons. Il s'agit donc d'aider en priorité ceux qui en ont le plus besoin.