Il faut en effet rendre hommage à nos soldats, qui s'acquittent admirablement, semble-t-il, d'une tâche plus ardue encore qu'au Mali.
Sans les attributs de la souveraineté, au premier rang desquels l'armée et la police, le rétablissement de l'État restera virtuel, en dépit du fonctionnement des institutions politiques. La reconstitution des FACA ne devrait-elle pas être notre priorité et, le cas échéant, celle de l'Union européenne ?