La politique d’aide au développement de notre République doit faire face à son plus grand paradoxe, celui d’une politique généreuse, à laquelle la France consacre près de 10 milliards d’euros par an, tous modes de financement confondus, mais critiquée quant à sa cohérence et ses difficultés à respecter ses engagements internationaux.
Depuis le sommet du Millénaire, en 2000, les pays des économies développées se sont engagés à consacrer 0,7 % de leur produit national brut à l’aide publique au développement.