Derrière les grands principes, ce sont des destins particuliers et l’avenir d’États qui se jouent. C’est l’accès à l’éducation, à la santé, à l’eau, c’est la lutte contre la mortalité infantile, c’est la promotion de l’égalité femme-homme. Tout cela mérite bien que nous prenions quelques heures pour en débattre collectivement.
Ce texte ne doit pas rester au niveau de l’intention, fût-elle louable. Nous devons ensemble, sur tous les bancs de cette Assemblée, nous saisir de cette belle opportunité. Souvenons-nous que l’aide au développement est notre dette historique ainsi que notre honneur de grande puissance, consciente du message d’égalité que porte notre histoire.