L’Agence française de développement ne peut plus soutenir des programmes visant par exemple à la déforestation des forêts primaires, à la mise en place d’équipements fonctionnant au charbon ou encore à l’accaparement des terres. Le sous-amendement que nous proposons vise à instaurer une cohérence entre ce que prescrit la loi d’orientation sur le développement et la politique de l’Agence française de développement sur ces questions liées au développement durable. Il s’agit d’empêcher l’Agence française de développement de soutenir des projets contrevenant à ces orientations.