Sur le champ de l’assurance maladie, non seulement les engagements pris sont tenus, mais les efforts de maîtrise de la dépense ont été au-delà de la prévision initiale. Et au final, comme le reconnaît la Cour des comptes, la dégradation entre la loi de programmation des finances publiques et l’exécution budgétaire tient à des éléments conjoncturels que nous assumons.
Aussi, monsieur le ministre, pouvez-vous éclairer la représentation nationale sur la poursuite de cette politique de redressement de nos finances publiques, à hauteur de 50 milliards d’euros, chiffre que confirme la Cour des comptes dans son rapport, sans mettre en cause le retour de la croissance.