, va enfin permettre de valoriser et de faire reconnaître les pratiques artistiques amateurs.
Il n’y est aucunement question d’autorisations ministérielles préalables. Nous entendons au contraire encourager les pratiques amateurs en les sécurisant juridiquement, en permettant le recours à du matériel professionnel, à la publicité, y compris, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, lorsqu’il y a une billetterie payante. Aujourd’hui, tous ces amateurs, tous ces bénévoles pourraient se voir requalifiés comme travailleurs clandestins. (Vives exclamations sur les bancs des groupes UDI et UMP.)