Cette réforme accentue les inégalités sur les territoires. Les communes qui l’ont engagée en 2013, les trois quart par complaisance politique, déchantent aujourd’hui. Faute de moyens financiers, elles obligent les familles à mettre la main à la poche pour les TAP, les temps d’activité péri-éducatifs.
Dans les communes qui devront appliquer cette réforme en 2014, ce sont des problèmes de financement, de recrutement, de locaux qui se posent. Encore une fois, vous faites payer l’addition de vos réformes aux Français, qui paient déjà beaucoup d’impôts.
Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous me répondre aujourd’hui ? Qu’en sera-t-il en 2015, après la disparition du fonds d’amorçage ? Monsieur le Premier ministre, pouvez-vous me répondre ? Quelle sanction allez-vous imposer aux maires, si nous ne mettons pas en place cette réforme en septembre 2014 ?