Certes, monsieur Terrasse, mais derrière chaque euro mal dépensé, il y a aussi des particuliers ou des intérêts catégoriels. L’intérêt général, qui n’est pas la somme des intérêts particuliers, doit toujours prévaloir.
Cette invitation aux réformes, au redressement des comptes, à la modernisation publique, n’a qu’un but, qui est la raison d’être des juridictions financières : éclairer les décideurs, les élus que vous êtes, mais aussi les citoyens, et donner les moyens d’adapter les services publics aux enjeux de demain. Je vous souhaite bonne lecture du rapport, mesdames, messieurs les députés, et vous remercie de votre attention. (Applaudissements.)