Nous n'avons pas de volet prospectif mais notre souhait est d'établir un pont avec le milieu universitaire, pour mener des recherches. L'idée est de se nourrir mutuellement, d'identifier les programmes qu'on pourrait aider, au-delà de l'enquête « Virage » : il y a par exemple un programme « Genre et droit » très intéressant. Grâce aux CIDFF, nous bénéficions d'une remontée d'informations qui nous alertent sur des problématiques que nous pourrions aborder, telles la montée du chômage et de la précarité parmi les femmes âgées.