Je ne saurais répondre à votre première question. En revanche, tant le pays organisateur que le BIE effectuent une étude a posteriori pour déterminer les raisons des succès et des échecs d'une exposition – tâche parfois délicate. Entre le dossier de candidature et la réalisation concrète du projet, il s'écoule plusieurs années et les différences sont souvent spectaculaires. En effet, si le pays candidat dépend totalement du BIE jusqu'au moment du vote, il devient ensuite seul maître à bord. C'est pourquoi le BIE craint les abandons en cours de route – dont la France notamment s'est rendue coupable.