je voudrais prendre quelques précautions.
La première, monsieur Piron, c’est que vous êtes trop averti sur les questions de finances publiques pour ne pas savoir que l’on ne fait pas au mois de février la loi de finances qui se discute devant le Parlement à l’automne, et qu’il est tout à fait normal que je ne sois pas en situation de vous dire aussi précisément que dans quelques semaines le détail de ce programme de 50 milliards d’euros d’économies.