Ma question devait s’adresser à M. le Premier ministre, mais il n’est plus là. J’y associe mes collègues alsaciens-mosellans.
Il y a quelques mois, je me faisais la porte-parole d’une Alsace en colère et je rappelais au Premier ministre les motifs tout à fait fondés de cet émoi. Et voilà que, par l’intermédiaire d’un parlementaire communiste, les attaques sont renouvelées, cette fois contre le concordat en vigueur en Alsace-Moselle.