Madame la députée, je ne vois pas d’où vient l’inquiétude. Au cours d’un déplacement du Premier ministre en Moselle, j’ai, en tant que ministre de la fonction publique, échangé, entre autres, sur la rémunération de personnes qui sont chargées du culte. Nous n’avons eu aucun souci à échanger avec elles à ce sujet, car le Gouvernement n’a, contrairement à ce que vous semblez dire, aucune idée derrière la tête tendant à remettre en cause le concordat.